<p>Ou comment instrumentaliser à des fins politiques un événement tragique qui n'a aucun rapport pour relancer une loi anticonstitutionnelle : La loi AVIA</p>
<p>Les contenus terroristes ou pédopornographiques doit être considérés comme tel
<strong>par un juge</strong> et non par l'appréciation de l'administration. Les
plateformes privées ne doivent pas jouer le rôle d'organe de censure et encore
moins l'automatiser.<br />
Le conseil constitutionnel s'est déja prononcé en indiquant que
« <strong>le législateur porte une atteinte à la liberté d'expression</strong> qui n'est ni adaptée,
ni proportionnée au but poursuivi ». Il persiste « <strong>le risque que les opérateurs
soient incités à retirer tous les contenus contestés, y compris ceux qui sont licites</strong> » [<a href="https://www.vie-publique.fr/loi/268070-loi-avia-lutte-contre-les-contenus-haineux-sur-internet">1</a>].</p>